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    www.kla.tv

    Vidéo : La 5G est imposée au peuple… alors que les gouvernements s’en protègent ?!

     

    Bruxelles ‒ La téléphonie mobile de 5e génération (5G) ne sera pas installée dans la capitale de l’UE dans un premier temps. « Les habitants de Bruxelles ne sont pas des cobayes dont la santé peut être mise en jeu pour le profit. Nous devons éliminer tous les doutes à ce sujet », a déclaré la ministre de l’environnement de la région, Céline Fremault, au journal L'Echo.

    L’article fait état de l’échec des négociations qui visaient à augmenter de plus de 100 % l’exposition admissible aux rayonnements. Y va-t-il vraiment de la protection de la population ou n’est-ce qu’une excuse pour protéger les politiciens de l’UE et les services gouvernementaux de Bruxelles des dommages causés par le rayonnement de la téléphonie mobile ?

    Genève/Suisse ‒ Le canton de Genève, en Suisse, a stoppé le déploiement de la 5G en raison des doutes concernant les effets de son rayonnement. D’autres cantons, comme ceux du Jura et de Vaud, ont suivi cet exemple.

    Le Parlement cantonal genevois veut attendre de voir des études indépendantes sur la question. Dans le Grand Conseil genevois il a été souligné que l’environnement était de plus en plus exposé à des rayonnements électromagnétiques et que personne n’en connaissait les répercussions sur la santé.

    Qui doit donc être protégé des dommages irréparables de la téléphonie mobile ? La nature et l’environnement sont-ils vraiment au centre des préoccupations ou plutôt les collaborateurs des organisations internationales qui ont leurs sièges à Genève, comme par exemple les Nations Unies (ONU), l’Organisation mondiale de la santé (OMS), le Centre de Recherche Nucléaire CERN, l’AELE, le Forum Economique Mondial WEF, etc. ?

     


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    Charlie Chaplin Modern Times 1936

     ... ou l'asservissement de l'homme par la machine au profit des banquiers cosmopolites.

     


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    Tous concernés, tous connectés?

    Une suite logique :

    Présence du graphène dans la pollution de l'air créé  par les avions, interdiction des ampoules à incandescence et imposition des ampoules LED, interdiction des lampes halogènes, remplacement par des lampes LED partout...

     

    Source : twitter.com/NicolasPichot6/

     

    Pour voir la vidéo, cliquer sur l'image :

    Nanoparticules et lampes LED

     

    Source : twitter.com/NicolasPichot6

    Pour les anglophones

    Il faut prendre du Gluthation pour se débarrasser du graphène dans le corps...

    Nanoparticules et lampadaires LED


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    www.lamontagne.fr/

     

    Les soldats du feu de plus en plus confrontés à des incendies de panneaux solaires

    Les incendies de panneaux photovoltaïques ne sont pas très fréquents. Mais du fait de la multiplication de ce type d’installations, les sapeurs-pompiers sont de plus en plus souvent confrontés au problème.

     Éteindre un incendie en arrosant d'eau des panneaux photovoltaïques, c'est la mort assurée pour celui qui tient la lance.

     

    Même si les panneaux ont été déconnectés ! Que faire alors ? Des précisions avec le lieutenant-colonel Christian Rodier, chef opérationnel du Service d'incendie et de secours (SDIS) du Puy-de-Dôme.

     

    1 Une intervention très technique. « Comme souvent, la prise d'alerte est de première importance. Est-on ou pas en présence de panneaux solaires ? Si oui. Le risque est alors connu et nous avons une procédure à suivre. En effet, depuis 2011, il y a eu une évolution réglementaire dans le domaine du photovoltaïque. Notamment, les installations doivent être pourvues de système permettant de couper la production de courant.

    « Les panneaux continuent de produire de l'électricité. Même la nuit ! »

    En début d'intervention, la première chose à faire est donc d'identifier un organe de sécurité et de déconnecter les panneaux. Pour autant, tout risque n'est pas écarté. Les panneaux continuent de produire de l'électricité. Même la nuit ! Des tests ont permis de montrer qu'un éclairage important du type de ceux que nous utilisons pour sécuriser nos interventions nocturnes suffit à mettre les panneaux en tension ».

    Du coup, les pompiers ne peuvent pas arroser les panneaux avec de l'eau sous peine de produire un arc électrique mortel.

     

    2 Des panneaux solaires innocents. Dans la plupart des cas, les panneaux solaires ne sont pas à l'origine du sinistre. (ndlr du blog : si le compteur Linky ne peut pas toujours mis en cause, mais sa présence dans les maisons sinistrées est une constante...)

     

    « Si le feu ne touche pas l'installation photovoltaïque, nous allons tout faire pour la mettre en sécurité. Pour nous, ce n'est, à ce moment-là, qu'un risque supplémentaire comme une installation radiographique par exemple. Nous faisons en sorte de préserver cette zone du sinistre en cours. Si ce n'est pas possible, là encore nous avons un guide de bonnes pratiques et nous sommes formés à ce risque. Effectivement, pas d'utilisation d'eau directement sur les panneaux. De même, il faut éviter de mettre la zone en contact avec une échelle métallique. Le tout bien évidemment sans jamais marcher sur les panneaux. Ce qui rend l'intervention très technique et nécessite l'activation de gros moyens ».

     

    3 Mauvaises surprises. Problème nouveau : les panneaux sont à l'origine de l'incendie. « Le cas s'est produit pour la première fois dans le Puy-de-Dôme le 16 juillet, avenue Jules-Vernes, à Clermont-Ferrand. Les panneaux sont en toiture d'une entreprise. Les règles d'intervention sont les mêmes que celles que je viens de citer. En revanche, les difficultés, elles, sont différentes. Là, nous avons à faire à du verre en fusion avec des risques d'écoulement sur une structure métallique avec pour conséquence d'en provoquer l'effondrement. Cette intervention bien que très peu impressionnante (pas de flammes, plutôt une sorte de combustion des panneaux) a nécessité d'importants moyens sur plus de quatre heures ».

     

    Les sapeurs-pompiers ont aussi fait venir l'installateur sur place afin d'avoir une connaissance parfaite du dispositif. Puis, à partir d'une grande échelle maintenue hors contact de la toiture, le dessous des panneaux a été arrosé à l'aide d'une lance de protection pour éviter la surchauffe. Enfin, l'ensemble a été bâché pour permettre de circonscrire l'incendie en toute sécurité.

     

    « L'adaptabilité reste une constante chez les sapeurs-pompiers, explique le lieutenant-colonel Rodier. Cette première intervention permettra certainement de faire évoluer les procédures opérationnelles envisagées au sein de notre service ».

     

    Le boom du photovoltaïque

     

    Au 31 décembre 2013, dans le Puy-de-Dôme, 3.811 particuliers avaient fait le choix du solaire. Aujourd'hui, selon la DREAL, direction régionale de l'environnement, de l'aménagement et du logement, il doit y avoir 4.000 installations.

     

    Multiplié par quatre

     

    En ajoutant les très grosses surfaces, le nombre d'installations a été multipliée par quatre entre 2009 et 2011. La production a grimpé de 2.876 KW à 26.000 KW. Dans le même temps, la production de l'éolien a stagné à 22.300 KW et celle de l'hydraulique a très légèrement progressé (15.883 KW en 2009, 17.100 KW en 2011). Sources : base de données Eider.

     

    Auvergne

     

    En 2009, sur les 162 Gwh (giga wattheures) d'électricité photovoltaïque produite en France, l'Auvergne en produisait quatre.

     

    1.925 h d'ensoleillement

     

    Le Puy-de-Dôme se situe dans la moyenne française en termes d'ensoleillement annuel. Ce qui permet une production d'électricité photovoltaïque tout à fait correcte.

     

    Un groupement

     

    Des particuliers ont créé un groupement (www.gppep.org) pour défendre leurs intérêts. Parmi les difficultés de la filière : les installateurs qui cessent leurs activités provoquant une pénurie de dépanneurs sérieux et les panneaux défectueux de marque Scheuten ( lamontagne.fr, écrire "Scheuten" dans la barre de recherche)

    Cécile Bergougnoux

     

     

     

     


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